Pétitions dans les établissements scolaires
 
Afin de sensibiliser les municipalités, nous proposons de faire circuler les pétitions dans les écoles, les collèges et les lycées.
Le premier modèle de pétition pourra être signé par les parents d'élèves.
Le deuxième modèle est proposé aux élèves des lycées et collèges.
Les pétitions signées seront collectées par le Collectif qui les transmettra aux municipalités.
 
L'adresse du Collectif est la suivante :
Entretemps, 84 rue de l'Aqueduc - 75010 Paris (télécopie : 01 46 07 27 58).


Pour les parents d'élèves


NON AU CRACK A PARIS !



Les quartiers Nord de Paris (10è, 18è et 19è) se mobilisent.

Sous la pression des habitants et des commerçants, la police a commencé à faire son travail dans le quartier de Stalingrad, et à disperser les dealers de crack, rabatteurs et hommes de main, qui ont tenu le haut du pavé pendant tout l'été. Il a fallu pour cela l'agression commise à l'encontre d'une puéricultrice en juillet dernier, et les manifestations organisées semaine après semaine par la population du quartier.

Nous voulons nous assurer que la police continuera à faire son travail, et à garantir de façon durable la sécurité de nos enfants à la porte de l'école, du collège, du lycée, dans la rue et dans les jardins publics.

L'intervention de la police ne suffit pas. Nous exigeons aussi que nos élus s'attachent à :
- conduire un travail de prévention ;
- faire diminuer la demande de drogue, notamment par la désintoxication des drogués ;
- rénover les secteurs défavorisés que les municipalités ont laissés se constituer en ghettos de misère et lieux de tous les trafics.

Nom Adresse


Pour les élèves


NON AU CRACK A PARIS !


Les élèves des lycées et collèges soutiennent l'action de leurs parents et des habitants des quartiers Nord de Paris (10è, 18è et 19è), et exigent qu'il soit mis fin au trafic de crack et à la violence dans la rue .

Sous la pression des habitants et des commerçants, la police a commencé à faire son travail dans le quartier de Stalingrad, et à disperser les dealers de crack, rabatteurs et hommes de main, qui ont tenu le haut du pavé pendant tout l'été. Il a fallu pour cela l'agression commise à l'encontre d'une puéricultrice en juillet dernier, et les manifestations organisées semaine après semaine par la population du quartier.

L'intervention de la police pour disperser les gangs ne suffit pas. Il faut encore :
- conduire un travail de prévention ;
- faire diminuer la demande de drogue, notamment par la désintoxication des drogués ;
- rénover les secteurs défavorisés, colonisés par les bandes et livrés à tous les trafics.

Les représentants élus en charge des affaires municipales doivent faire leur travail !

Nom Etablissement Adresse