Ci-suit quelques premiers éléments d’un dossier que nous nourrirons dans des textes ultérieurs.

 

 

1) La Mairie de Paris

 

Voir le compte rendu instructif du lancement de la campagne par la Maire de Paris il y a juste un an :

 

 

avec première orchestration de la politique suivie à Genève

 

dont la mesure-phare est l’ouverture d’un « lieu d’injection » (les Suisses en sont « très fiers ») :

 

 

2) La MILDT

 

Son plan quadriennal

 

comportant, page 31, le projet d’« expérimenter » en matière de crack :

 

 

 

3) EGO

 

3.a) L’Assemblée d’EGO (mercredi 20 avril 2005) modifiant les statuts de l’association :

 

pour lui permettre d’engager des « programmes pilotes à caractère expérimental » en matière de « consommation » (notez le terme…) de drogues :

 

 

3.b) Le plan prévu du nouveau local, avec « consultations » au rez-de-chaussée

et, en sous-sol, à l’écart des regards indiscrets, une innovante salle de « relaxation » :

Þ

 

 

Au total un « programme expérimental » prévu pour 10 000 visites de toxicomanes par an :

 

 

 

4) Lancement de la campagne média grand public

 

France-Culture

 

« Il y a plusieurs étapes dans EGO ? – Oui, chaque dix ans, il a fallu faire un saut qualitatif ! » (Lia Cavalcanti, EGO)

 

Sans compter Act-Up qui vient à la rescousse pour fixer le ton idéologique du projet Vive l’Europe néo-libérale du libre commerce et de la libre consommation… de crack ! :

« Toxicomanie : la France encore à la traîne. Le Luxembourg est le septième pays européen à ouvrir une salle de consommation. » « Créer de tels espaces est la continuation logique de la politique menée en France en matière de réduction des risques liées à l’usage de drogues. » (14 septembre 2005)

 

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